
A une encablure du commencement du chantier, s’apercevant que le mobilier n’a jamais quitté la chapelle, qu’il s’est encore un peu plus dégradé et que l’antiquaire a fait faux bond, le Collège a décidé de solliciter l’aide de Jean-Pierre Marchal de Wood Fashion alors même qu’il y a deux ans, son offre avait été jugée « peu réaliste ».

Vu l’urgence, Jean-Pierre Marchal assisté du Collectif citoyen tentera, autant que faire se peut, de sauvegarder un maximum d’éléments.
Décidément, aucun avatar n’aura été épargné à la chapelle et son patrimoine mobilier...